mercredi 26 décembre 2012

Montage Staudacher

En parcourant les annonces Ebay, je vois un Staudacher ARF pour un prix intéressant, plus grand que mon Calmato SP de 1400mm, plus lourd aussi et apparemment doté de qualités de vol plus intéressantes.
Voilà le contenu de la boîte après ouverture des multiples petits sachets, c'est très complet.
Le moteur ne fait évidemment pas partie du kit...

Les ailes sont déjà entoilées, ce qui ne va pas faciliter la découverte des logements de servos.


Les charnières fournies sont en fibre, difficiles à poser pour mes mains maladroites et pas assez rigides à mon goût, le vendeur de l'avion m'a fait cadeau de charnières en plastique à axe métallique, je vais donc les monter, après avoir re-tracé et refendu les logements avec une meilleure répartition.
Le bois serre tellement qu'elles n'ont pas été collées.

 Le plus dur pour le montage du servo a été le tirage du câble.

 On le positionne au milieu en immobilisant l'aileron au neutre.

Les guignols fournis sont un peu mous surtout à l'extrémité, donc remplacement par un modèle métallique.


A gauche : fixation d'aile d'origine, pas en pouces et vis dures à tourner,
à droite : un vrai boulon M8 taillé en pointe au tour, avec son écrou à griffes.


OS-75 ou OS-91 ? 
Le modèle ne devrait pas dépasser 4 kg à sec, j'avais prévu le 75 pour mon biplan,
mais comme ce dernier sera plus lourd, il héritera du 91.
En plus, le 75 est déjà rodé.

L'ennui de ce genre de montage, c'est l'équilibrage longitudinal de l'avion qu'il va falloir compenser du côté gauche, et je n'ai pas envie d'y loger un fer de marteau ni un autre poids inutile, ce sera donc l'accu de réception ainsi qu'un autre pack destiné à l'éclairage et quelques vis sans tête.

Il s'agit là du montage à blanc, une petite platine a été construite, les blocs d'accus emballés dans de l'alu autocollant et la mousse virée.

Montant de la "facture" pour le centrage avant/arrière : 170 grammes de plomb collés sur le stabilisateur vertical !
Il est mignon, mais on ne le verra pas...

...capot oblige, et dont la section est supérieure à celle du fuselage.

Petit trou pour passer le chauffe-bougie, avec petit caoutchouc pour dissimuler les poils de la fibre.

Petit montage à la tarabiscot pour la mise en croix des stabilisateurs, qué dallage !

Il a fallu trouver et tracer tous les points essentiels pour que la géométrie soit correcte avant le collage.

Très pratiques, les pinces colorées.


 Commandes de dérive et de profondeur


Le récepteur est un WFLY à 7 voies, avec la commande d'ailerons programmée sur deux voies distinctes.
Et voilà l'engin terminé.

En attendant que la météo soit enfin clémente pour le premier vol, j'ai voulu tester le moteur, déjà rodé au banc, cette fois sur le modèle : impossible de faire le plein, la pompe avait du mal à tourner.
Après démontage du réservoir, je me suis aperçu qu'une des trois prises était bouchée...

















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